Roys Peak

Retour sur l’un de mes plus beaux souvenirs de randonnée, en Nouvelle-Zélande, durant la semaine où nous étions « bloquée » à Wanaka (Gigi est au garage). Et pourtant, comme à notre habitude, tout ne s’est pas passé comme prévu.

Réveil tardif, fortes chaleurs, une envie de découvrir de nouveaux horizons, mais Gigi en a décidé autrement… Il fait beau. Il fait chaud. Nous statuons pour une courte randonnée. Lonely Planet (guide sur la Nouvelle-Zélande) nous en propose une d’une heure et demie. C’est le programme parfait au vu de la météo.

Il est 12h30, nous nous apprêtons à prendre le départ avec comme récompense à la clé : aller manger ! Ce qu’il faut savoir : à chaque départ de randonnée, vous avez un panneau détaillant le chemin (la durée moyenne, nombre de kilomètres à parcourir…). Devant ce panneau, nous comprenons que ce n’est pas la randonnée du guide. Celle-ci c’est Roys Peak, il faut 5 heures aller/retour pour la parcourir. Comme à notre habitude, nous sommes toujours aussi inconscientes. Nous ne renonçons pas à en prendre le départ.

Sous un soleil de plomb (28 degrés au compteur), avec 1 litre et demi d’eau pour nous trois, nous partons pour une éprouvante ascension. C’est donc sans surprise que nous arrivons rapidement en manque d’eau. Le dernier quart d’heure a été particulièrement difficile. Nous rêvions de pouvoir boire l’eau du minime ruisseau.

Épuisées, mais heureuses d’arriver au point culminant. La vue imprenable sur le lac nous fait rapidement oublier les difficultés de la montée. C’est sans voix que je contemple la splendeur du paysage devant moi. Je n’ai aucun mot pour décrire ce que j’ai à cet instant devant les yeux, mais Put*** que c’est beau !

Nous prenons le temps d’admirer la vue et de photographier ce sublime panorama, avant de repartir. Durant la descente, la discussion à l’honneur : où aller pour nous récompenser de nos efforts ? Nous terminons la randonnée au pas de course afin de nous rendre plus rapidement en ville pour déguster une citronnade bien fraîche, accompagnée d’une bonne crêpe bretonne.








(petit bonus pour la fin! Allez Ciao!)

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